PRESSE Lessentiel.lu Les syndicats craignent pour leur liberté

LUXEMBOURG – La CGFP et le SPFP ont exprimé lundi, leurs inquiétudes sur les libertés syndicales, après les déboires de l’un des leurs. Ils appellent le gouvernement à réagir.

storybild
Romain Wolff demande au ministre de la Défense de réagir. (photo: Julien Garroy)

Les syndicalistes dénoncent ni plus ni moins une «menace pour les libertés syndicales». La Confédération générale de la fonction publique (CGFP) et le Syndicat professionnel de la force publique (SPFP) ont appelé lundi, le gouvernement à réagir, lors d’une conférence de presse commune. Ils ont évoqué pêle-mêle des pressions, des tentatives d’intimidations voire des menaces.

Tout a débuté avec l’affaire autour de Christian Schleck, vice-président du SPFP et président du syndicat de l’Armée (Spal). Les syndicalistes reprochent à l’état-major de l’armée, en premier lieu de son chef Alain Duschène, d’avoir fait pression sur l’intéressé, en raison de son engagement syndical, et d’avoir obtenu sa mutation. La SPFP avait appelé à la démission de Duschène.

Les syndicalistes dénoncent ni plus ni moins une «menace pour les libertés syndicales». La Confédération générale de la fonction publique (CGFP) et le Syndicat professionnel de la force publique (SPFP) ont appelé lundi, le gouvernement à réagir, lors d’une conférence de presse commune. Ils ont évoqué pêle-mêle des pressions, des tentatives d’intimidations voire des menaces.

Tout a débuté avec l’affaire autour de Christian Schleck, vice-président du SPFP et président du syndicat de l’Armée (Spal). Les syndicalistes reprochent à l’état-major de l’armée, en premier lieu de son chef Alain Duschène, d’avoir fait pression sur l’intéressé, en raison de son engagement syndical, et d’avoir obtenu sa mutation. La SPFP avait appelé à la démission de Duschène.

«Nous exigeons que M. Schleck revienne au poste qu’il occupait jusqu’à il y a quelques jours», martèle Romain Wolff, président de la CGFP. Pour lui, l’affaire va «au-delà d’un cas personnel, il s’agit d’une question essentielle, protégée par la constitution». Il appelle donc François Bausch (déi gréng), ministre de la Défense, à réagir pour «se porter en garant des libertés syndicales». Il en a profité pour dénoncer une «violation» de la Convention de Genève sur la question, ratifiée par le Luxembourg en 2001. Sollicité par L’essentiel, l’état-major de l’armée n’a pas encore réagi.

(Joseph Gaulier/L’essentiel)

Source lessentiel.lu

Durch die weitere Nutzung der Seite stimmst du der Verwendung von Cookies zu. Weitere Informationen

Die Cookie-Einstellungen auf dieser Website sind auf "Cookies zulassen" eingestellt, um das beste Surferlebnis zu ermöglichen. Wenn du diese Website ohne Änderung der Cookie-Einstellungen verwendest oder auf "Akzeptieren" klickst, erklärst du sich damit einverstanden.

Schließen